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Profiterd'un mercredi pour effectuer la visite ou acheter quelques souvenirs car, tout près, à la gare routière se tient le marché hebdomadaire des fleurs. Orchidées, anthuriums, fleurs en tout genre donnent lieu à une flânerie supplémentaire. Pour s'y rendre. Se rendre à Saint-Pierre et descendre la Rue Victor le Vigoureux. Après Pourfaire une surprise à vos amis, proches ou collègues sur l'ile de la Réunion, optez pour une livraison de fleurs. Avec des fleurs exprimez toutes vos émotions quelle que soit l'occasion. Nous avons sélectionné pour vous des bouquets de fleurs, plantes et compositions florales disponible à la Réunion en toute saison. Alors venez flâner à Sainte-Rose à La Réunion. Située au sud-est de « l’île intense », cette commune enchantera aussi bien les amoureux d’aventure que les adeptes de farniente. Zoom sur l’histoire de la commune de Sainte-Rose. Comme la plupart des villes de l’île de la Réunion, Sainte-Rose porte l’empreinte de la Lesrevues L’Orchidée, revue de la FFAO de 1983 à 2019, sont disponibles en téléchargement au format PDF. L’accès est réservé aux abonnés à Actualités Cultiver Encyclopédie Monographies. Un osmoseur pour l’eau d’arrosage des orchidées – partie 2 . Retrouvons maintenant la suite de notre mini série sur l’usage de l’osmoseur pour l’arrosage des Lorsquelles perdent leur belle couleur verte, c'est qu'il temps d'arroser ou de la bassiner pendant quelques minutes. Les racines ont besoin de lumière, comme elles le font en pleine nature Sur l'Île de la Réunion, la lumière est plus intense, ton orchidée sera heureuse. meliss96s. Modifié le 21 nov. 2019 à 08:01. Petite Annonce Rencontre Ile De La Reunion. Ajouter à la liste des vœux Ajouter au comparatif Ajouter une photo 55 photos Ajouter une photo Ajouter votre avis Visiter Musee des Arts et Traditions Populaires demande du temps et des efforts, si cela vous donne faim venez dans ce restaurant pour un bon repas. Ne partez pas sans avoir mangé un parfait cuit à la perfection. Si vous voulez essayer un vin délicieux, Salon des Orchidées est un bon choix. Un personnel compétent attend les clients tout au long de l'année. Si vous voulez profiter d'un service agréable, vous devriez aller à ce lieu. Un décor spectaculaire et une ambiance confortable permettent aux clients de se détendre. Cet endroit est classé dans le système de notation de Google. Évaluation complèteMasquer Avis d'utilisateurs sur les plats et les services Voir toutMoins Evaluations des Salon des Orchidées Avis des visiteurs des Salon des Orchidées / 165 Adresse Rue de Leers, Wattrelos, Hauts-de-France, France Particularités Accès personnes handicapées Vous aimerez aussi Mis à jour le juil. 30, 2022 400 pages 21x30 cm Feuilleter Acheter Existe aussi en version Cet atlas des orchidées de France fondamental de 400 pages, au format A4, est la conclusion d'un long travail d'inventaire des stations des 159 espèces d'orchidées de France. Au travers de 159 monographies superbement illustrées et 154 cartes, vous découvrirez un état des lieux de la répartition de ces plantes fascinantes. Cet ouvrage est une Publication scientifique du Muséum national d'Histoire naturelle MNHN, en coédition avec les éditions Biotope. Quatorze auteurs et de nombreux photographes ont mené à bien cette entreprise ; François Dusak et Daniel Prat, de la SFO, étant les coordinateurs de cette équipe. Fruit du travail de plus de 3 000 personnes ou organismes dont les Conservatoires botaniques nationaux regroupe plus de 420 000 données. Les parties introductives de l'ouvrage détaillent la genèse de la cartographie, les implications de cet Atlas sur la gestion des populations d'orchidées, les différentes zones biogéographiques déduites de leur répartition et des données climatiques, et font le point sur les risques auxquels elles sont exposées. Pour chaque taxon, sont indiqués en plus d'une carte détaillée, la répartition globale, l'écologie et le classement liste rouge nationale selon les critères de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature UICN. En mai 2009, le Comité français de l'UICN, le MNHN, la Fédération des Conservatoires Botaniques Nationaux et la SFO ont validé, lors d'une réunion de synthèse, la liste rouge des orchidées de France. L'Atlas procure des informations de référence pour définir les priorités de protection et les actions à mener en faveur des espèces classées en danger EN ou vulnérables VU telles que le Sabot de Vénus plante spectaculaire, le Liparis de Loesel espèce fragile des milieux humides le Ministère chargé de l'environnement vient de lancer le 1er octobre 2010, le Plan d'action nationale de protection du Liparis de Loesel, et l'Ophrys de l'Aveyron qui occupe une aire très restreinte. Ce dernier est une des rares espèces de la flore française proposée pour inscription sur la liste rouge mondiale de l'UICN. Dans la lignée des ouvrages naturalistes édités récemment par Biotope et le MNHN, cet Atlas des orchidées de France offre un outil important pour l’évaluation de la biodiversité française. Il permet de mieux appréhender les difficultés de la conservation de nos orchidées et de leurs habitats et de comprendre les menaces qui pèsent sur elles ; certaines espèces étant principalement, voire uniquement, réparties en France ce qui leur confère une valeur patrimoniale particulière à préserver. Enfin, la répartition des orchidées, servira tous ceux qui interviennent dans la gestion du territoire et les nombreux passionnés ! La presse en parle dimanche 01 janvier 2012 "L’Atlas des Orchidées de France" Bulletin tome 147, nouv. série n° 40 1, 2012 12 Par Jean Laporte-Cru … Le mérite essentiel de cet ouvrage énorme est de présenter une mise au point actuelle de la répartition des Orchidées en France, en tenant compte des recherches taxonomiques les plus récentes. Ainsi, pour la plupart des espèces, magnifiquement illustrées par des photos très précises, une carte de répartition à l’échelle de la France est présentée, de même que des indications écrites sur la répartition, l’écologie, l’état de conservation et le statut de protection. …. » Orchidées de La Réunion - Grand Format Cet ouvrage est destiné a tous ceux qui s'intéressent aux Orchidées de La Réunion et de l'océan Indien, qu'ils soient touristes, amateurs, naturalistes,... Lire la suite 24,00 € Neuf Expédié sous 6 à 12 jours Livré chez vous entre le 24 août et le 30 août Cet ouvrage est destiné a tous ceux qui s'intéressent aux Orchidées de La Réunion et de l'océan Indien, qu'ils soient touristes, amateurs, naturalistes, orchidophiles ou scientifiques. La grande qualité des photographies permet une reconnaissance aisée d'environ 150 espèces, dont quatre sont nouvelles pour la science Angraecum tamonii, Bulbophyllum mascarenense, Cynorkis reunionensis et Habenaria cadetiorum. Des pictogrammes facilitent la lecture et informent sur l'écologie des espèces ainsi que sur leurs milieux de vie et leur période de floraison. Les orchidées sont de véritables porte-drapeau pour la conservation et la préservation de la forêt réunionnaise, reconnue au patrimoine mondial de l'humanité. Il est donc d'une impérieuse nécessité de protéger ces espèces dans leur habitat. Sachez les observer, les admirer, les protéger dans leur milieu naturel et partez à la découverte des orchidées sauvages de l'île, véritables joyaux du hotspot des îles du sud ouest de l'océan Indien. Date de parution 22/08/2020 Editeur ISBN 979-10-298-0397-0 EAN 9791029803970 Format Grand Format Présentation Broché Nb. de pages 210 pages Poids Kg Dimensions 16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm La vanille est une orchidée, la seule dont le fruit est comestible. Sur les rivages de l’Océan Indien, les vanilleraies de l’Ile de la Réunion couvrent les hauteurs vertes et humides de la “côte aux vents”. Voyage au pays de la vanille… Le Domaine du Grand Hazier Emergeant d’un océan de cannes, sur les riches terres de Sainte-Suzanne, au nord de l’île de la Réunion, le Domaine du Grand Hazier défie les années. Une magnifique allée de cocotiers mène à cette grande demeure créole en bois qui a essuyé bien des cyclones. C’est l’un des cent premiers habitants de la Réunion, le lyonnais Jean Julien, qui le premier avait établi ses pénates sur cette concession de 600 hectares accordée par le Roi de France, en 1690. En 1903, la famille Chassagne en devient propriétaire et depuis ne s’en s’est jamais séparé. Le Grand Hazier n’est pas un musée. Si ses propriétaires l’ont ouvert à la visite, c’est pour ne pas laisser tomber dans l’oubli ce fragment de patrimoine réunionnais. Vieux verger avec un grand nombre d’essences fruitières tropicales, mobilier de la Compagnie des Indes, souvenirs innombrables… On découvre mille détails intimes qui nous montrent ce qu’était la vie des grandes familles terriennes de la Réunion et la manière dont s’organisait la vie sur un domaine. Dans l’ancienne écurie et dans le jardin expérimental du domaine, Bertrant Côme, agronome de formation, fait des tests sur les différents substrats et composts et sélectionne les meilleurs plants de vanille. Il me fait découvrir la formidable histoire de la Vanille Bourbon. Vanille de l’île Bourbon Les premières boutures de vanille arrivent en 1819 sur l’île Bourbon nom de l’île de la Réunion à l’époque avec le commandant Pierre-Henri Philibert. Il revenait d’une expédition de Guyane en compagnie du botaniste Perrotet, dans le but de diversifier les ressources de l’île. En 1820, il ramène d’autres boutures venant de Manille. En 1822, des boutures provenant du Mexique sont ramenées du Muséum de Paris par Monsieur Marchant. C’est cette variété qui sera exploitée par David de Floris, le principal planteur de vanille à Saint-André au 19e siècle. La vanille de la Réunion est regroupée avec celle des Comores et de Madagascar sous le label de qualité Vanille Bourbon». La Réunion produit environ 30 tonnes de vanille et elle en exporte 20 tonnes. Le blason de l’île de la Réunion est sommé de fleurs de vanillier d’où descendent des branches de vanillier feuillées et fruitées. L’écu est surmonté d’un listel d’or portant la devise Florebo quocumque ferar» qui signifie Je fleurirai partout où l’on me portera» qui servit de devise à la Compagnie française des Indes Orientales. Un climat chaud et humide Le genre Vanilla compte 110 espèces dont une quinzaine seulement sont productrices de vanilline. Le vanillier commun, Vanilla planifolia Jacks. ex Andrews, est une sorte d’orchidée. Elle a besoin d’un climat chaud et d’une humidité élevée et constante pour se développer. Elle se plaît sur les hauteurs vertes et humides de Saint-André, Sainte-Marie, Sainte-Rose, Saint-Philippe et Saint-Joseph, à une altitude moyenne de 600 mètres. Mais c’est l’intensité lumineuse qui induit la floraison. La vanille est une liane qui peut atteindre 15 mètres de long. Elle n’a besoin pour pousser que d’un tuteur vivant auquel elle s’accroche grâce à ses racines adventives. Il faut attendre trois ans avant de voir s’épanouir les premières fleurs odorantes jaune clair. Les inflorescences sont réunies en grappes regroupant jusqu’à une trentaine de fleurs. Mais si la vanille n’a aucun problème à pousser sur l’île, son inflorescence hermaphrodite a besoin d’un insecte particulier pour être fécondé et ainsi donner des gousses. Il s’agit de l’abeille Melipone que l’on ne trouve qu’au Mexique et qui n’a pas été invitée au voyage jusqu’à la Réunion. La fleur doit être fécondée manuellement selon un rituel immuable découvert par un jeune esclave créole, Edmond Albius, en 1841. Le Jardin des Parfums et des Epices Avant de découvrir le travail de fécondation des fleurs, direction Saint-Philippe, une petite commune emblématique du sud sauvage. Née du volcan, elle est couverte d’une roche noire du basalte qui alterne avec une végétation à la luxuriance débridée. La forêt humide recèle mille parfums aux notes délicates telles que la cardamome, cachée dans les sous-bois, la cannelle, aux feuilles d’un vert tendre, la vanille grimpant sur son tuteur de filaos et le girofle… Ici, on croit entendre battre le coeur de l’île. Dans ce vestige de la forêt primaire, le Jardin des Parfums et des Epices nous fait découvrir sur trois hectares plus de 1500 plantes ou essences dont les arômes subtils caressent l’odorat. Patrick Fontaine me guide dans ce foisonnement de plantes et d’arbres, de fougères et d’orchidées. La famille de Patrick est à la Réunion depuis 5 ou 6 générations. Ecologiste, féru d’histoire et de botanique, Patrick est soucieux de l’environnement pour préserver les traditions de l’île et la qualité de la vie. Il me parle de la diversité, de la petite mousse discrète sur un arbre. Son jardin est en mouvement. Il cherche sa place et son équilibre dans la nature. Rien n’est imposé. Crédit photo c E. Virin Jardin des Parfums et des Epices Culture forestière de la vanille Au delà du jardin, une parcelle boisée de 16 ha est consacrée à la culture biologique de fruits, d’épices et de vanille. Dans cette culture agroforestière, les arbres sont pris d’assaut par d’autres plantes qui les colonisent. Des palmistes omniprésents que certains vanilliers prennent comme tuteur côtoient de nombreuses variétés d’épices telles que le giroflier, la cardamone ainsi que d’abondantes plantes à parfums telles que le géranium, le vétiver, l’ylang-ylang. Patrick utilise la forêt existante comme support pour ses plants de vanille. Les boutures sont installées au pied de plantes indigènes comme le bois de gaulette ou le filao. Il y a aussi le palmiste rouge, l’acacia et le draceana. Il faut trouver le juste équilibre entre l’ombre et la lumière. Dans une parcelle obscure, plus humide, la plante prospère mais la récolte est moins belle. Quand la forêt n’est pas trop dense et qu’elle laisse passer de la lumière, les gousses sont plus belles mais la plante risque de souffrir de la sécheresse. Ici aussi, comme dans toute l’île, les fleurs sont fécondées manuellement. Cette opération se déroule d’octobre à décembre. Les marieuses de vanille Les marieuses» peuvent féconder jusqu’à mille fleurs de la précieuse orchidée par jour. Le travail minutieux de fécondation est généralement assuré par une main d’oeuvre féminine, à l’aide d’une épine de citronnier ou d’une petite pointe de bambou. Les fleurs éclosent durant la nuit et doivent être fécondées dans la matinée. Le principe de la fécondation de la vanille se décompose en trois mouvements. On saisit la pointe de la fleur avec la main gauche et on découpe la corolle avec une petite pointe. On soulève délicatement avec une petite pointe en bambou le pistil organe femelle et on le redresse. On appuie délicatement avec le pouce de la main gauche pour que l’étamine mâle puisse s’incliner vers l’organe femelle et féconder la fleur. On recommence ainsi de suite pour chaque fleur. La manière de polliniser la fleur va déterminer la beauté de la gousse, sa longueur et son arôme, en fonction du nombre de graines fécondées. Le poinçon, la marque du planteur Les fruits sont regroupés en longues grappes pendantes composées de capsules et non de gousses, comme on le croit. Elles mesurent de 12 à 20cm de long et renferment un grand nombre de graines. Une liane de vanille peut porter plusieurs grappes qui produiront 3 à 4 kilos de gousses vertes. Par inflorescence, 8 à 10 gousses sont seulement conservées car on élimine les gousses trop petites ou endommagées par les insectes. Ainsi, chaque plant produit une centaine de gousses contenant des milliers de petites graines odoriférantes contenant la vanilline. Les fruits sont récoltés environ sept à neuf mois après la pollinisation. Durant cette période, la vanille est exposée à toutes sortes de convoitises et de vols. Pour les dissuader, les planteurs ont recours un poinçonnage. Le poinçon, la marque du planteur, est appliqué à l’opposé de la crosse et sur la face de la gousse située vers l’extérieur. Arrivée à maturité sur le plant, la gousse de vanille prend naturellement une couleur brun chocolat. Elle se fend sur toute sa longueur, libérant ainsi son parfum. Il faut donc récolter la vanille juste avant son ouverture. La récolte commence en juin pour se terminer mi octobre. On récolte les capsules lorsqu’elles sont encore un peu jaunes ou vertes. Elles contiennent chacune environ 2000 graines mais n’ont alors ni goût ni odeur. Deux ans d’étuvage, séchage et affinage Après la récolte, il faudra deux ans de transformation, échaudage, étuvage, séchage et affinage avant de proposer les bâtons de vanille à la vente. Entassées dans de grandes corbeilles en osier, les gousses sont plongées dans un bain brûlant à 65°C pendant trois minutes pour stopper la maturation. Elles sont ensuite enfermées dans des couvertures pendant 24 heures. Elles se mettent à transpirer et étuver, le temps de se transformer et de mûrir, prenant alors leur couleur brune caractéristique. Elles sont ensuite mises à sécher sur des palettes ou des claies en bois au soleil pendant une dizaine de jours puis un séchage à l’ombre pendant deux ou trois mois. Une fois séchées, elles sont empaquetées, puis enfermées dans de grandes malles en teck. Là, les précieuses gousses vont encore mûrir pendant un an, s’affiner et affirmer leur parfum inimitable qui présente, à la Réunion, une note de pruneau et de réglisse. Petits fagots odorants Les gousses sont noires, souples et brillantes. On doit pouvoir faire un noeud sans les casser. Triées, calibrées et mesurées, les gousses de vanille sont liées en petits fagots odorants. Elles seront alors prêtes, dans leur habit noir, un peu huileux, où le spécialiste sait reconnaître la cristallisation du principe odorant, la vanilline, que ne remplacera jamais son homologue synthétique. La vanille givrée est la plus délicieuse des vanilles. Elle est ainsi nommée car à la suite d’une longue préparation, de fins cristaux apparaissent naturellement à la surface de la gousse lui donnant l’aspect d’un givre presque blanc. Cela signifie que la vanille n’est pas passée au four, qu’elle n’a pas non plus été lavée dans l’eau bouillante et qu’aucun conservateur chimique ne lui est associé. La vanille est commercialisée en gousses, bien sûr, mais aussi en poudre. On peut aussi trouver de la vanille liquide ainsi que du sel de vanille, du café vanille, du rhum à la vanille et du sucre vanillé. Vanille vraie ou synthétique Saveur vanille, arôme vanille, goût vanille pas une seule molécule de vanille végétale sous ces noms! Pour débusquer la vraie vanille des produits de synthèse, il suffit en principe de lire l’étiquette du produit. L’extrait naturel de vanille tient son parfum des gousses naturelles. S’il est vanilliné, c’est de la chimie. Certains produits de synthèse sont fabriqués à partir de sucre riz ou de betteraves, des produits naturels. D’où l’appellation arôme naturel de vanille» qui prête à confusion. D’autres utilisent la gousse vide de ses grains qui est broyée et qui est utilisée dans les glaces et les yaourts. Nettement moins cher, mais la finesse et la qualité en moins… La vanilline trouve aussi sa place dans d’autres domaines que l’alimentation. L’industrie pharmaceutique l’utilise pour lutter contre la maladie de Parkinson. Elle a su aussi tenter bien des parfumeurs qui aiment par dessus tout cette odeur, qui sait donner de l’âme à la peau». Bien utiliser sa gousse de vanille L’arôme naturel de la vanille est infiniment subtil. En effet, la nature combine de 50 à 60 éléments différents pour donner au parfum toute sa plénitude tandis que les copies chimiques ne renferment au mieux qu’une douzaine de composants. Sa saveur douce et raffinée se marie à merveille avec les mets sucrés mais les Grands Chefs l’associent avec bonheur aux plats salés. Les gousses fraîches se conservent un an sans perdre leur parfum à condition de les conserver au sec, à l’abri de l’air et de la lumière. Pour recueillir toute son arôme, il faut couper la gousse en deux dans le sens de la longueur. Munissez-vous d’un bon couteau et raclez l’intérieur pour récupérer la pulpe et les petites graines. On compte une gousse par litre de lait que l’on peut laisser macérer pendant 24 heures. Ne pas porter le lait à ébullition car il tue l’arôme. Gastronomie réunionnaise. Canard à la vanille Ingrédients 1 canard de 2kg,,3 gousses de vanille, 1 litre de vin rouge, 3 oignons, 3 gousses d’ail, 3 tomates, 150gr de champignons de Paris, 1 cuillère à café de curcuma, 3 cm de gingembre, huile, sel, poivre. La veille, détaillez le canard en morceaux et faites-les mariner toute la nuit dans un saladier avec deux cuillères à soupe d’huile, les champignons, le vin, sel, poivre et la pulpe des 3 gousses de vanille. Le jour J, réchauffez un fond de marinade dans une marmite et faites roussir les morceaux de canard à feu vif. Pilez l’ail et le gingembre, coupez les tomates et les oignons. Une fois les morceaux de canard bien dorés, ajoutez et faites roussir les oignons puis le mélange ail/gingembre. Ajoutez et laissez réduire les tomates 2 à 3 minutes. Versez la marinade en y mélangeant le curcuma. Laissez mijoter une heure à feu doux. Remuez de temps en temps et ajoutez de l’eau si nécessaire. En fin de cuisson vous devez avoir une sauce onctueuse. Gâteau bananes Ingrédients 3 bananes bien mûres, 250gr de beurre, 250 gr de farine, 200 gr de sucre de canne en poudre, 1 sachet de levure, 3 oeufs, 1 gousse de vanille, 5 cuillère à soupe de rhum Epluchez les bananes et les écraser à la fourchette. Laissez bien ramollir le beurre. Dans un saladier, avec les mains, mélangez le beurre bien ramolli, le sucre et la pulpe d’une gousse de vanille. Ajoutez les oeufs battus. Incorporez la moitié de la farine et la moitié des bananes, alternativement. Travaillez la pâte soigneusement pour l’aérer avec une cuillère en bois. Ajoutez le reste de farine, des bananes et la levure. Arrosez avec le rhum et retravaillez le tout. Beurrez et farinez un moule à gâteau, versez la préparation et enfournez à four pas trop chaud. Laissez cuire 45 minutes. Le gâteau est cuit lorsque la pointe de couteau enfoncée au centre ressort sèche. Servez tiède avec une crème anglaise. Carnet de route Adresses de vanilleraies Domaine du Grand Hazier, allée Chassagne, 7 chemin du Grand Hazier à Sainte Suzanne. Visites guidées de la maison et de la Vanilleraie, boutique de vanille. Jardin des Parfums et des Epices, 7 chemin Forestier, Mare Longue à Saint-Philippe. Visites guidées et boutique de produits locaux. Plantation de vanille Roulof, lieu dit Petit Bazar», 470 chemin Deschanets à Saint-André. Visite de la plantation et boutique. Plantation Vanilla-Bourbon, Le Petit Brulé, chemin Communal à Sainte-Rose. Visites sur rendez-vous et boutique en ligne. Crédit photos Agnès Pirlot et IRT c E. Virin, Reportage publié dans Les Jardins d’Eden 2012 Mon voyage à la Réunion m’a offert de belles découvertes. Vous retrouverez mon reportage sur l’Ile de la Réunion, sur le Jardin de l’Etat et le Jardin de Cendrillon à Saint-Denis, sur le Jardin botanique de Mascarin, le Jardin d’Eden et le jardin de la Maison Folio à Hell Bourg, sur le portrait de la fleuriste Odette Roche et celui d’Edmond Albius, l’esclave qui a découvert la fécondation de la vanille, dans les rubriques Voyages, Jardins et Découvertes, ou cliquez sur les liens. Du 12 au 14 novembre 2021, l’association Touques en Fête organise une exposition-vente d’orchidées à l’église Saint-Pierre, à Touques Calvados. Par Marie-Madeleine Remoleur Publié le 12 Nov 21 à 1108 Du 12 au 14 novembre 2021, l’association Touques en Fête organise une exposition-vente d’orchidées. ©Adobe Stock / IllustrationDu 12 au 14 novembre 2021, l’association Touques en Fête organise une exposition-vente d’orchidées à l’église Saint-Pierre, à Touques Calvados. Un voyage extraordinaire », comme le nomme l’association. Personnellement, j’ai toujours été attirée par les orchidées, j’en ai toujours à la maison, j’ai visité de très belles expositions à Dijon, en région parisienne et je les ai admirées dans les régions tropicales, sourit Geneviève Dubromel, présidente de Touques en fête et organisatrice de l’exposition qui, du 12 au 14 novembre, mettra les orchidées à l’ l’occasion de proposer ce genre d’exposition à Touques, pour la première fois, car j’ai pu constater que beaucoup de personnes aimaient cette plante qui se décline en de multiples variétés. Le cadre de l’église Saint-Pierre permettra aux visiteurs d’admirer et aussi acheter ces fleurs. »Des exposants variés et des conseilsCette exposition-vente, initiée par l’association Touques en Fête, rassemblera donc des producteurs d’orchidées venus des Hauts de France, du Val de Loire et de la Région parisienne présenteront de multiples variétés d’orchidées. J’ai un ami orchidophile qui m’a aidée à préparer cette exposition en m’indiquant différents producteurs qui, eux-mêmes, m’ont mis en relation avec des exposants qui proposeront des bijoux de fleurs, des parfums, explique-t-elle, nommant notamment trois exposants d’orchidées Ryanne Orchidée Nord, L’Orchidium Loir-et-Cher et La Cour des Orchidées Essonne. Et Fanny, décoratrice et fleuriste installée au presbytère de Touques l’Atelier Hanami ndlr, proposera des bougies aux senteurs de vanille ».D’autre part, le club orchidées 14 de Ouistreham, qui adhère à la Fédération Française des Amateurs d’Orchidées FFAO, pourra donner des conseils pour la culture et l’entretien des orchidées. Le magasin Truffaut de Touques nous prête des plantes vertes et Noble Maison de Pont-l’Évêque nous prête des éléments de décoration ».Pratique Vendredi 12 novembre, de 14 h à 18 h, et les samedi 13 et dimanche 14 novembre, de 10 h à 18 h, à l’église Saint-Pierre, à Touques. Tarif 3 €, gratuit pour les moins de 12 article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Pays d'Auge dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.

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